A
force d’étudier le crâne, on finit par percevoir sa forme à travers
le visage. Alors, je cherche à [animer cet objet
minéral inerte en l’associant à un élément
organique] comme la langue, le nez, les yeux, la peau et
même les cornes. Créer une opposition, un contraste qui donne un
sens ambivalent au travail, comme un crâne projetant une hampe ressemblant
à un cotillon en langue de sorcière, ou à un [germe
qui s’étire de la graine], ou comme le nez d’un certain pantin
qui devient humain... |